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dimanche 7 décembre 2014

La révolution Ukrainienne, un exemple pour la France

Le deuxième point de vue, formant une important minorité, c’est celui de la russophilie. Une russophilie qui s’explique avant tout par une haine irrationnelle du monde occidental capitaliste et qui s’exerce, dans les esprits faibles et binaires, par une admiration béate pour le régime dictatorial de Poutine et de ses actions.
Le pro-russisme des nationalistes français pour les combattants pro-russes se revendiquant fièrement du communisme ou de l’URSS devrait interpeller chacun d’entre nous, mais très peu remettent en question leur engagement dans cette voie là. Cette fascination quasi schizophrénique pour un régime que nous refuserions de subir l’espace d’une journée chez nous, est encouragée par cette forte minorité qui ne voit dans ces criminels que des résistants à l’UE et aux USA, et pas les militants soviétiques, multiraciaux et antifa. Dans cet affrontement, les criminels bénéficient d’un appuis marqué de la part de la fédération de Russie qui n’hésite pas à envoyer une partie de ses stocks d’armes pour imposer le chaos en Ukraine indépendante pour ainsi la forcer à se soumettre et de facto soumettre l’Europe à ses conditions. Cela n’arrivera pas, car la fédération de Russie n’est plus l’URSS. 


Le jeune patriote français qui a écrit ce billet a une vision claire des événements. Mais en choisissant le Front National comme parti, il fait erreur. Peut-être avec plus d'expérience le comprendra-t-il, comme je l'ai compris moi aussi avec le temps.
J'ajoute pour compléter le billet que s'il y a tant de soutiens français pour le Guébiste, c'est que les "meneurs" prétendument patriotes ont très souvent des intérêts ou bien familiaux (le couple Mariani est certes français de papier. Mais Monsieur Mariani est italien de souche, Madame Mariani fraichement naturalisée étant pour sa part russe de souche) ou bien financiers (on sait qui finance le FN, on sait qui a financé ProRussiaTV, on sait que Monsieur Olivier Berruyer a des livres à vendre, que Monsieur Dassault a investit en Russie, tout comme Total la multinationale "française" qui ne paye pas d'impôt en France)

 

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