Vérifiez par vous-même : vous le verrez dans tous les forums du
Figaro (et autres forums de "la grande presse") traitant de la Russie et de l'Ukraine... Certains pseudos, toujours les mêmes, défendent inlassablement Poutine ("rampent devant la clique de mafieux russes" devrais-je plutôt dire). Un exemple : Alexandre Latsa (de son vrai nom -pas très Français de souche d'ailleurs- Alexandre Stefanesco)*.
Pour cet individu assez méprisable, comme pour beaucoup d'autres internautes poutinophiles inondant le web de leur grossière propagande, on peut raisonnablement se poser la
question :
Est-il un des fonctionnaires de l'usine de trolls de Poutine ? (ça paye bien, "troll pour Poutine" : voyez ci-dessous... dans un système où règne la corruption, ça se passe comme ça. Espérons que ce système ne parvienne pas en France, par le biais des dégénérés du FN)
Ou
bien trolle-t-il par "idéologie" rouge-brune ? S'est-il résolu à porter des oeillères (pour se faire bien voir d'un système mafieux, certains sont prêts à tout, y compris à dérouler des kilomètres de langue pour servir au mieux leur maître...) ? Ou bien, suite à un traitement, est-il devenu un agent décervelé du Kremlin répondant à quelques réflexes pavloviens bien rodés ? Peut-être la propagande du Kremlin lui a-t-elle lavé le cerveau, tel
le pauvre Winston dans "1984" ? Est-il un des fonctionnaires de l'usine de trolls de Poutine ? (ça paye bien, "troll pour Poutine" : voyez ci-dessous... dans un système où règne la corruption, ça se passe comme ça. Espérons que ce système ne parvienne pas en France, par le biais des dégénérés du FN)
L'hypothèse n°1 est assez crédible pour bon nombre d'intervenants sur le net. Voici une très bonne enquête sur l'usine à trolls du Kremlin :
Propagande : la redoutable usine à trolls du Kremlin
Dans un immeuble de Saint-Pétersbourg, des centaines de jeunes employés s’activent jour et nuit pour inonder la Toile russe de messages pro-Poutine et troller des messages violemment anti-Obama sur des sites américains.
C’est ce que détaille une longue enquête parue mardi dans le New York Times, qui fait suite à d’autres articles que nous avions déjà signalés.
Cette Internet Research Agency, comme s’appelle la firme, recrute à tour de bras mais fait signer à ses employés des accords de confidentialité drastiques. Personne ne sait au juste qui la finance – même si des documents ayant fuité pointent vers un oligarque proche du Kremlin.
L’armée des trolls
Les anciens employés qui ont parlé à la presse décrivent une firme très bien organisée, qui compte plusieurs centaines de salariés, répartis par département. Chaque département a un champ d’actions bien défini : LiveJournal, VKontakte (le Facebook russe), Facebook, Twitter, Instagram, les commentaires des sites d’info russes...Et cette « armée de trolls bien payés », comme la désigne le New York Times – même s’il s’agit plus de propagandistes que de trolls au sens strict du terme –, ne chôme pas. Les anciens employés évoquent des sessions de travail de douze heures d’affilée (deux journées de douze heures suivies de deux jours de congé), et un système d’amende pour les retards. L’immeuble est moche, les bureaux neutres et les openspaces minuscules.
C’est dans ces bureaux que les employés inondent la Toile de commentaires favorables à Poutine et à la politique du Kremlin, et descendent les « ennemis de la Russie » – avec, comme cibles de prédilection, l’Ukraine et Obama.
Ils ont des consignes strictes : certains sujets sont interdits (comme la République populaire de Donetsk ou celle de Lougansk) et on leur fournit, sur des sujets sensibles, la conclusion à inclure dans leurs posts. Par exemple, après les attentats de Charlie Hebdo :
« Vladimir Poutine a contacté immédiatement le leader français, malgré les relations tendues entre la Russie et l’Occident. Le leader de la Russie a toujours été contre les agressions et le terrorisme en général. Grâce aux actions du Président, le nombre d’actions terroristes en Russie a énormément chuté. »Les équipes chargées d’inonder les sites américains opèrent de façon beaucoup plus sophistiquée. Le New York Times rapporte ainsi qu’à l’automne dernier, une équipe de ces propagandistes 2.0 a cherché à faire croire à l’explosion d’une usine chimique en Louisiane, en utilisant de faux comptes Twitter ainsi qu’une fausse vidéo prétendant que Daesh avait revendiqué les attentats.
Et ils bossent. Les anciens employés, à l’image de Lioudmila Savtchouk, qui a également donné une interview au Spiegel, décrivent des journées de travail de douze heures et des quotas de production drastiques : cinq posts politiques, dix posts non politiques et de 150 à 200 commentaires de réponse aux posts de ses collègues tous les deux jours (ce document, qu’elle a transmis au journal d’investigation russe Moi Raion, récapitule certaines de ces consignes).
« Bullshit job »
Pour autant, ce ne sont pas nécessairement des partisans convaincus de Poutine qui travaillent dans ces locaux éclairés au néon.Selon un ex de l’« Agence », la moitié des employés n’ont aucune culture politique et sont surtout là parce que le job paie bien : 45 000 roubles (740 euros environ) par mois pour les trolls de base, jusqu’à 65 000 roubles (1 065 euros) pour les travailleurs d’élite. A titre de comparaison, le salaire russe médian est de 21 000 roubles (345 euros).
Pour eux, ce boulot n’est qu’un autre « bullshit job », un « métier à la con », tel que les a décrits l’anthropologue David Graeber, à savoir des métiers qui produisent du vent et qu’on reconnaît à un signe infaillible : ceux qui les exercent sont les premiers à dire que leur boulot ne sert à rien.
Ainsi, un ancien troll a raconté à Radio Free Europe – une radio privée datant de la guerre froide, financée par le Congrès des Etats-Unis – puis au Guardian ses conditions de travail :
« On ne parle pas beaucoup, parce qu’on est tous très occupés. Chaque commentaire doit faire moins de 200 caractères. Le boulot, c’est juste de rester assis et de taper sur le clavier sans s’arrêter.
On n’a pas besoin de parler parce qu’on voit bien ce que les autres postent – mais en réalité, on n’a même pas besoin de faire attention parce que ça n’a ni queue ni tête.
Quelqu’un poste une information, quelqu’un d’autre commente... Mais je pense que les vraies gens ne s’embêtent pas à lire ça. »
Pourrir l’espace démocratique
L’Internet Research Agency n’est pas unique : des milliers de Russes travailleraient actuellement dans le secteur du trollage politique.A quoi sert ce trollage à grande échelle ? A gagner des supporters à Poutine ? Pas vraiment, explique le journaliste du New York Times. Le but n’est pas de convaincre mais d’entretenir un climat délétère et flou sur la Toile, prompt à décourager les nouveaux venus et les curieux :
« Internet reste le seul médium où l’opposition peut encore se faire entendre. Mais aujourd’hui, son message est noyé au milieu des ordures des trolls, et les lecteurs finiront peut-être par renoncer avant même qu’ils aient pu l’entendre. [...]La Russie est peut-être en pointe, mais elle n’est pas la seule : la Chine, la Grande-Bretagne, l’Inde ou encore Israël emploient eux aussi, plus ou moins officiellement, des légions de « netizens » (des cybercitoyens) pour étendre la bataille de l’information (enfin, de la propagande) au Web.
La guerre d’information que mène la Russie est peut-être la plus grosse opération de trolling de l’histoire. Elle vise rien de moins que l’utilité d’Internet comme espace démocratique. »
Rue89
* Concernant Alexandre Stefanesco, alias Alexandre Latsa, il officie désormais très probablement sous le pseudo Alexandre Kastals. Exemple dans ce forum du Monde, pour un article consacré à Porochenko, le président de l'Ukraine (inutile de dire que c'est -comme d'hab- pour pourrir ce dernier et pour glorifier son maître Poutine...
Cet article de Rue 89 est extraordinairement mauvais. Pour commencer, il est très en retard sur ce qui a déjà été publié, et très partiel sur la désinformation russe.
RépondreSupprimerMais surtout, il essaye de nier la spécificité et l'ampleur de cette activité, en établissant une équivalence entre ce que fait la Russie en la matière et ce que font les autres pays. Soit exactement l'argument de la propagande poutinienne : bah oui, on déforme, mais tout le monde déforme, et d'ailleurs qui peut dire où est la vérité ?
Aucune mise en perspective historique, non plus. Aucun rappel des multiples opérations de désinformation menées par le KGB. Aucune mention du fait que la désinformation est dans le sang des services secrets russes depuis la création de la Tchéka -- et même avant, à preuve les Protocoles des Sages de Sion.
Bien entendu, quand on examine les prétendues initiatives de désinformation non russes sur Internet, on constate qu'elles n'ont rien à voir avec la pratique du Kremlin. Par exemple, le site d'info-guerre ukrainien officiel est public et recrute publiquement. Tandis que toute la machine à trolls poutinienne est clandestine ! Léger détail...
Evidemment que les pays occidentaux peuvent et doivent riposter à la guerre de l'information russe. Mais il s'agit d'y répondre en disant la vérité -- autre petit détail qui fait toute la différence.
Pour ma part, j'ai croisé de nombreux trolls professionnels du Kremlin tout à fait manifestes. Je n'ai jamais croisé de troll professionnel britannique. Ou israélien, d'ailleurs. Peut-être est-ce, s'ils existent, parce qu'ils disent la vérité, et qu'ils ne cherchent pas à insulter leurs interlocuteurs et à faire dérailler les conversations ? En somme, parce que ce ne seraient pas des trolls ?
J'ajouterais que l'appareil de désinformation russe sur les espaces de discussion ne se limite pas à l'usine à trolls de Saint Pétersbourg. On croise manifestement sur les blogs des désinformateurs de haut niveau, qui sont à l'évidence des professionnels, et qui ne font pas partie du lumpen des trolls produisant au kilomètre. Ceux-là écrivent probablement à partir des ambassades, ou d'ailleurs.
C'est vrai que d'autres articles ont déjà paru sur la question. Disons que c'est un rappel. Un rappel, c'est toujours utile, certains ayant la mémoire courte.
RépondreSupprimerJe ne le trouve pas si mauvais, cet article. Il est court, ciblé uniquement sur "l'usine à trolls", et nous montre comment elle fonctionne "au quotidien".
En revanche, c'est vrai, la conclusion est très discutable, car elle suggère que la Russie fait comme (ou "un peu plus que") la Chine, l'Inde, la GB, ou Israël... Alors que pour ce qui est du web français, il est aisé de constater que l'ampleur de la propagande russe n'a pas d'équivalent. Bon, allez, on peut considérer que sans les 4 dernières lignes, l'article serait plutôt pas mal.
Ce que je trouve le plus inquiétant, finalement, est qu'un grand nombre de nos élus (pas seulement le FN et le FDG) sont de vrais agents du Kremlin. A l'UMP, près de 50% de l'appareil est poutinophile. Comme par hasard, ce sont les pires : Sarkosy ou Mariani par exemple. L'autre courant de l'UMP -ceux qui ont su raison garder- s'appellent Bruno Le Maire ou Juppé. Espérons que les présidentielles ne nous offrent pas un duel Sarkosy - Le Pen ! [http://www.lexpress.fr/actualite/politique/ump/fn-et-ump-une-nouvelle-breche-a-travers-le-conflit-russo-ukrainien_1685825.html Il faudra que je mette cet article sur le blog, pour se souvenir de quelques noms...]
Ils s'appuient, justement, sur ceux que vous appelez "les désinformateurs de haut niveau" . Il y en a trop, hélas. Sapir ou De Villiers bien sûr. Mais je dois dire que j'ai été très déçu de voir VGE à Moscou . Déçu, mais à moitié surpris, car n'oublions pas qu'il est membre d'honneur de cette association : http://dialoguefrancorusse.com/fr/association/membres-partenaires.html , codirigé par Mariani [rappel : c'est un élu UMP marié à une femme russe, comme par hasard ; et ayant développé un petit business au pays des soviets , comme par hasard] et par Vladimir Iakounine [rappel : c'est un oligarque milliardaire, ex-KGB , visé par les sanctions américaines. Bref, un parrain de la mafia russe]
Bah pour VGE il n'y a rien de surprenant, il avait bien qualifié Mao de "Phare de la Pensée mondiale" ...
SupprimerEh oui... Pour être admirateur de Mao et membre de l'association de Mariani et Yakounine, faut pas être très net...
RépondreSupprimerConcernant Vladimir Yakounine, cet oligarque ex-KGBiste, président des chemins de fer de Russie, proche de Poutine, visé par les sanctions américaines, co- directeur (avec Mariani) de l'association citée ci-dessus, j'ajoute ceci : pour lui comme pour Poutine, l'Ukraine n'existe pas , elle n'est qu'une partie de la Russie et lui a toujours été liée. Il a fait de multiples déclarations niant l'identité ukrainienne. [cf pages 162-163, Ukraine, le réveil d'une nation). C'est là que l'on constate que les prétendus mouvements identitaires français devenus les porte-paroles de Poutine sont des imposteurs, qui n'ont "d'identitaire" que le nom. Je considère d'ailleurs que l'UE est beaucoup plus garante des identités européennes que le FN et ses alliés (ou plutôt ses maîtres et financiers) soviétoïdes. --> cf la devise de l'UE "In varietate concordia" . cf aussi, pour ceux qui voyagent un peu en Europe, les sites historiques protégés par l'UE) .
Euh... Si vous vous fiez à une devise de l'Union européenne pour estimer qu'elle protège les identités européennes, c'est un peu comme si vous vous fiiez aux déclarations de Poutine pour juger qu'il veut protéger les souverainetés nationales...
SupprimerJe m'étonne que Rue 89 ne donne pas plus d'importance à l'histoire de la fausse explosion chimique aux Etats-Unis l'année dernière, rapportée par le New York Times.
Ca va beaucoup plus loin que les commentaires bas de gamme des trolls-esclaves. C'est un acte de guerre destiné à semer la panique. Il peut être considéré comme un test pour des opérations similaires destinées à accompagner, par exemple, une incursion de petits hommes verts dans les pays baltes.
Je n'ai rien lu dans les médias français à ce sujet, alors qu'il s'agit d'une information majeure et d'une nouvelle méthode de guerre spéciale, très sophistiquée, jamais expérimentée auparavant à ma connaissance. On imagine les désordres qui peuvent être créés à distance par ce genre de méthodes, surtout si l'attaque s'appuie des faiblesses ou des troubles préexistants : grève paralysant le pays, catastrophe météo, émeutes d'immigrés...
Je me fie à une devise car une devise résume en quelques mots l'Etat d'esprit général.... Il se trouve que j'ai beaucoup voyagé. Dans la quasi-totalités de l'UE. Et que, j'ai comme tout un chacun qui s'intéresse un peu à la culture du pays visité, pu constater de visu que l'UE protégeait les sites historiques, par exemple. Qu'elle protégeait aussi les langues nationales et régionales : c'est assez marquant , en Irlande, de constater que tout est indiqué en gaélique et en anglais... D'ailleurs un charte des langues régionales va être ratifier... grâce à l'UE , et c'est une bonne chose : http://www.lemonde.fr/politique/article/2015/06/04/vers-un-projet-de-loi-constitutionnelle-pour-ratifier-la-charte-des-langues-regionales_4647527_823448.html On ne s'étonnera pas que Mélanchon comme Le Pen se scandalisent ! Tout comme le gus qui a écrit cette tribune dans le Figaro : http://www.lefigaro.fr/vox/societe/2015/06/05/31003-20150605ARTFIG00157-charte-europeenne-des-langues-regionales-hollande-nourrit-la-guerre-contre-le-francais.php
RépondreSupprimerLe gros problème de l'UE, c'est qu'elle ne protège pas suffisamment de l'immigration (encore que certains pays membres s'en sortent mieux, comme je l'ai déjà écrit)
Apparemment, il n'a pas dû comprendre que les langues régionales, tout comme le latin ou le grec, permettent de mieux comprendre le français...
L'information rapportée par le NY Times, je n'en ai pas eu vent non plus... C'est assez étonnant...
Tant il est vrai qu'il ne peut y avoir sauvegarde de l'indépendance de chaque État européen et du prodigieux patrimoine intellectuel culturel et moral de l'Europe sans un atlantisme fort. Cet atlantisme fort doit être d'une manière ou d'une autre refondé. Il n'est en rien un assujettissement à l'Amérique. Il en est l'exact contraire. L'Amérique est notre fille. Cette refondation passe nécessairement par une substantielle augmentation des budgets militaires de chacun des Etats membres de l'OTAN notamment de l'Allemagne (qui prend prétexte de son passé militaire criminel et démoniaque pour se planquer derrière une sorte de neutralisme égoïste qui lui permet de très consistantes économie en matière de défense. Attitude qu'elle "paye" par sa collaboration étroite avec la politique étrangère des USA)
SupprimerCe renforcement de la défense européenne permettra un meilleur équilibre en matière douanière et commerciale avec les Etats-Unis.
L'atlantisme n'ayant d'autre objet que de protéger ce que l'Europe et elle seule a inventé à savoir les Droits de l'Homme, la Démocratie et les Libertés publiques (excusez du peu). Idéal qu'elle doit intégralement au christianisme, dont la légitime et indispensable laïcisation est, elle aussi, directement issue du patrimoine chrétien. (n'en déplaise au petit Peillon)
On ne voit pas comment la Russie, qui se dit Sainte Russie et Troisième Rome...et j'en passe, pourrait échapper à son destin naturel qui est d'appartenir à l'Alliance et d'y prendre toute sa place. Le pitoyable et vulgaire histrion qui fait croire aux Russes qu'un avenir séparé, impérialiste et agressif est possible pour la Russie et qu'il peut exister cette creuse et inconsistante foutaise qu'il appelle "Eurasie", l'histrion va bientôt se heurter à la réalité.
Son très puissant voisin, la Chine, dix fois plus peuplée, dont les PIB et PNB sont 5 à 6 fois supérieurs, dont la croissance est de 7,5 % alors que celle la Russie de 1,3 % en 2013 et aujourd'hui lourdement négative, ne va pas tarder doucement mais inexorablement à remettre les pendules à l'heure. Et mettre la Russie à sa place.
Sauf à s'en remettre à l'OTAN et à y demander son intégration, la survie de ce "grand corps maladie" est bien noir. Comme la Grenouille de la fable, le Nain enflera, enflera, les Russes, si stupides parfois et si accoutumés aux mensonges, trépigneront d'admiration. La Grenouille crèvera. Elle aura fait perdre du temps à la Russie. Le Nain rendra les milliards volés aux Russes et aura alors au mieux une fin à la Gorbachev, de petit représentant de commerce pleurnichard qui a réussi à foutre en l'air la boîte de son patron, ou, ce qui, vu ses crimes, serait plus moral, une fin à la Ceausescu. Avec un procès moins long. Quant à la Russie, soyons confiant, l'OTAN la protégera...
La Chine vient d'investir dans près de 300000 hectares de terres agricoles dans l'est de la Russie
Supprimerhttp://www.rosbalt.ru/federal/2015/06/05/1405695.html
https://twitter.com/bangkokdave/status/608125012407644160
Bah.. L'OTAN est devenue un "gros mot" sur internet. La plupart des trolls balancent le mot "OTAN" comme un épouvantail, ne connaissant même pas l'historique de l'Alliance ; les trolls français ne savent pas de quoi ils parlent. En tant que français, faut vraiment être un illuminé pour croire que l'OTAN agit contre les français. L' alliance atlantique est naturelle ; historiquement nous avons toujours été des alliés des E-U. Ce qui ne veut pas dire que l'Europe doit être assujettie à l'Amérique.... Mais bon, il est des nuances difficiles à comprendre pour certains.
SupprimerBref, merci pour votre message bien rédigé et plein de bon sens.
Les trolls les plus actifs sur les articles du figaro sont hallucinants de réactivité. Un article peut sortir à tout moment du jour et de la nuit, et aussitôt, une nuée de cafard arrive pour pourrir et occuper l'espace, chantant les louanges de leur Génial Leader.
RépondreSupprimerPour moi, les canards qui ont ouvert leurs articles aux commentaires perdent en crédibilité, car ça devient un comptoir de PMU. Chacun peut y lacher sa perlouze, son lien vers un site débilo-complotiste... Tout se vaut, tout est horizontal...
C'est ce que je me disais, aussi : que n'importe quel guignol puisse lâcher son lien vers son site débilo-complotiste nuit à la crédibilité d'un quotidien en ligne. Au plus fort de la crise en Crimée, j'ai été frappé du nombre de liens renvoyant vers "les-crises" : tous les jours et sur tous les forums de presse française, on y avait droit. Ad nauseam !
RépondreSupprimerBerruyer est payé par l'ambassade de Moscou, cette idée veut de plus en plus son chemin dans les milieux "autorisés"
Supprimer