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lundi 17 novembre 2014

Sarkosy sort du placard. Il devrait y rester.


Sarkösy ou le degré Zéro de la politique est de retour. Et lorsque l'on a entendu son dernier discours, on ne peut que le regretter. Passons sur le passé, les affaires, le tapis rouge à Kadhafi, suivi de la contribution à sa chute. Passons sur le bling-bling, l'inculture, le niveau de français de cet ex locataire de l'Elysée.... Enfin, non, ne passons pas sur l'inculture. Car il vient de nous donner une nouvelle  preuve, si besoin était, de son niveau remarquablement élevé d'ignorance crasse et de vulgarité . Je suppose que la France a les élites qu'elle mérite... A l'issue d'un discours ô combien rasoir, le nain _non botoxé celui-là, mais tout aussi minable que celui du Kremlin_  répondait à une question relative à la livraison des navires Mistral à la Russie (heureusement qu'il ne s'est pas lancé dans un cours d'histoire de l'Ukraine...).

Pas de vidéo du discours ici ; cela polluerait le site (les courageux pourront aller sur youtube. Avancer à 32' ). Cependant, voici la question de l'auditeur UMP et la réponse du nabot...assortie bien sûr de quelques éléments de réponses (je ne connais pas le "professeur" du nabot...  Peut-être s'agit-il de Sapir, ce brillant universitaire qui s'appuie sur Itar-Tass pour écrire ses articles. Sans doute l'expert ignore-t-il que des sources émanant d'un pays qui a plongé dans les profondeurs du classement relatif à la liberté de la presse, et s'enfonçant encore et encore dans une dérive liberticide sont tout sauf fiables).


La question :
- Quelle est votre position sur le refus de livrer à la Russie les navires Mistrals, navires que la Russie nous a pourtant acheté légalement  ?
[Note : on sait aujourd'hui ce que vaut un "bout de papier" pour les russes. L'expression "bout de papier" a été utilisée par des responsables russes pour désigner plusieurs accords et traités. Je la reprends donc. Un contrat est aussi un bout de papier. On pourrait répondre que ce "bout de papier" a largement moins de valeur que "des bouts de papiers" tels que des traités internationaux. Nous y reviendrons*]

La réponse de Sarkösy :
- Je suis fasciné de la capacité d'un certain nombre d'acteurs politiques et d'observateurs à oublier la géographie et l'histoire.J'vais répondre à vot' question.
La Russie est un allié naturel et un partenaire naturel.  
[Ah? Et quid de Napoléon, de la Guerre de Crimée? De l'URSS? De l'adhésion de la France à l'Organisation du Traité de l'Atlantique Nord dès sa création? La France et la Russie sont loin d'avoir été toujours du même côté. Que je sache, après le 2e GM, la France a été aidée grâce au plan Marshall et non pas grâce à un plan Stalinien, De Gaulle n'était pas vraiment copain de  Staline ni du PC...  Les relations franco-russes ne se résument pas à Catherine La Grande ou à l'Escadron de chasse Normandie-Niemen...]  
Je ne veux pas que l'on recrée les conditions de la guerre froide qui a fait tant de mal sur le territoire du continent européen. C'est une erreur MAJEURE.
[qui est "on"? De qui parle le nabot? Apparemment pas de son jumeau botoxé. C'est pourtant bien lui qui mentalement n'est jamais sorti de la guerre froide et qui aujourd'hui la recréé réellement (les touristes "russes" visitant l'Ukraine dans leur char sont forts nombreux.... Mais on attend toujours les "armes" américaines) ]
La Russie est grande comme 46 fois la France, a 2 fois la superficie des EU d'Amérique, a 150 millions d'habitants. Dans l'histoire de l'humanité, jamais un pays qui n'avait pas la population pour occuper son territoire n'a été envahir le territoire d'à côté.
[Alors là, c'est la pompon. Comment se sont constitués les Etats-Unis d'Amérique (qu'appelle-t-on conquête de l'ouest?) ? Quid de la colonisation (pas toujours un territoire à côté, c'est vrai...) ? Et quid de la Russie elle-même? Quid de la Mongolie de Gengis Khan ? De l'Empire d'Alexandre le Grand? De l'Empire romain? des conquistadors en Amérique du Sud (l'expansion à tout le continent)? Tous les empires se sont constitués alors même que la population des conquérants n'occupait pas toute la superficie de leur territoire d'origine. Une exception, peut-être : le Japon]
Expliquer que la Russie va envahir l'Ukraine, c'est une méconnaissance totale de l'histoire de la démographie et de la volonté des dirigeants russes.
[Eh bien voilà. Le nabot, avocat de formation, qui a dû redoubler pour pourvoir arriver jusqu'au bac, non seulement part d'un postulat faux pour "construire" son raisonnement, mais se permet en sus de suggérer que lui est expert en histoire de la Russie, de l'Ukraine, de géopolitique. Il lit même, mais assurément bien mal, les pensées des dirigeants russes... On croit rêver. Ce qui n'est pas un rêve, en revanche, c'est que la Russie a déjà envahi l'Ukraine, et s'est même approprié une partie de son territoire, la Crimée... Annexion d'ailleurs non reconnue par l'ONU, mais reconnue par des pays tels que le Zimbabwe ou la Corée du Nord. Peut-être Sarkosy a-t-il les mêmes experts que ces grandes démocraties...]
L'Ukraine est un grand pays de 42 millions d'habitants dont 30% est russophone. L'Ukraine est un pont. Un pont entre l'Europe et la Russie. Le jour où vous coupez le pont d'une rive, le pays n'a plus de sens.
[On ne va pas faire de la métaphore à deux balles. On va laisser ça au fin lettré Sarkosy... (cela dit, pour ce qui est du "pont" on pourra écouter la seconde vidéo postée ici). On rappellera simplement que l'Ukraine est une nation souveraine, reconnue comme telle par tous les pays du monde, y compris par la Russie qui a signé maints accords, traités, et autres "bouts de papiers"*...  Ensuite, le nabot parle de "quelqu'un" qui aurait coupé le pont. - Notons, en passant, qu'en français, il existe un pronom clitique, pour désigner une personne indéfinie, qui est le "on" ; le nabot utilise le vous (les anglais utilisent "you" car il n'existe pas cet équivalent... Le nabot ex-président de la République aurait peut-être dû redoubler une autre classe à l'école...).  Le "quelqu'un", dans le cas qui nous intéresse, est identifié. Ce ne sont pas les américains, n'en déplaisent aux obsédés des EU, aux débilocomplotistes et autres paranos. Ce n'est pas l'UE ; ce n'est pas même "la Russie ou ni les russophones d'Ukraine" . Ce sont Poutine et ses conseillers, qui arrosent à coup de millions et à coup de propagande tout ce contribuera à faire éclater ce pays. C'est bien Poutine qui a refusé le dialogue que l'UE et les Etats-Unis lui ont maintes fois proposé alors qu'il était en train de prendre la Crimée. C'est bien suite à l'annexion de la Crimée et à son discours prophétisant des déstabilisation que ces déstabilisations se sont_ comme par hasard_produites. C'est bien suite à l'envoi des camions "humanitaires" que l'armée ukrainienne, qui jusqu'alors regagnait nettement du terrain face aux terroristes, s'est retrouvée face à de nouveaux soldats très bien équipés, et que la guerre est repartie de plus belle. C'est bien Poutine qui, seul au monde, a osé reconnaître les "élections" des terroristes de l'est. Le nabot a la mémoire courte, à moins qu'il ne soit aveugle ou sourd]
Plutôt que de pousser l'Ukraine dans un côté ou dans un autre, on ferait bien mieux de pousser l'Ukraine a avoir d'excellente relations avec l'Europe et d'excellentes relations avec les russes, parce que si vous obligez l'Ukraine à choisir l'Europe plutôt que la Russie, que deviennent les 30% de russophones en Ukraine ?...
[Encore l'usage du pronom indéfini. Cette fois-ci il a utilisé le "on". Mais qui est "on" ? Mystère. Puis il emploie à nouveaux le "vous"...une tournure à l'américaine...  Qui est "vous"? Mystère. Peut-être la théorie du complot ? :) :) :)   Pour ce qui est des 30% de russophones, on pourra signaler à Monsieur Sarkosy que les russophones n'avaient jamais été menacés ailleurs que dans la tête de Monsieur Poutine. On pourrait lui conseiller de lire Journal de Maïdan, de Kourkov : l'auteur est non seulement russophone mais aussi russe "ethnique", il vit à Kiev depuis son enfance et explique très bien tout cela. On pourrait aussi lui dire qu'il y a des russophones qui combattent contre les séparatistes (comme Yulia Tolopa, 18 ans nationaliste russe active et païenne qui combat les séparatistes après avoir participé aux événements place Maidan aux cotés des nationalistes ; elle s'est engagée dans le bataillon "Aydar").   
On pourrait lui rappeler qu'il existe des pays "multilingues qui se portent fort bien, comme la Confédération Helvétique ; que la France elle-même l'a longtemps été (sur son territoire cohabitaient plusieurs "peuples" parlant différents patois _bretons, basques, alsaciens, corses, etc). Le nabot est-il aussi inquiet pour les francophones de Suisse que pour les russophones d'Ukraine? Veut-il redessiner les cartes avec son jumeau botoxé? Si l'Allemagne demandait un référendum en Alsace, serait-il aussi enthousiaste? Peut-être voudrait-il s'occuper du redécoupage de la Belgique , de la Suisse, du Canada? Petite anecdote. Il se trouve que je me suis rendu en Ukraine plusieurs fois, et bien que je ne parle pas le russe ni l'ukrainien, je reconnais certains mots comme "merci". Le "merci" russe _spassiba_, je l'ai entendu des 10aines et des 10aines de fois. Jamais je n'ai eu l'impression que cela posait le moindre problème ou un regard de travers. Ce "problème" n'en est pas un ; c'est simplement un "prétexte" comme la fait de lutter contre des "nazis de Kiev" ; des vrais nazis, il y a en a peu en Ukraine, mais beaucoup dans les cercles poutiniens. Les poutinophiles ont sans doute voulu nous faire croire que les 40 000 soldats russes postés à la frontière étaient effrayés par un groupe de jeunes dont certains avaient dessiné une croix celtique sur un bouclier en bois! ]
La première décision du nouveau gouvernement ukrainien ayant été d'interdire l'usage du russe sur le territoire de l'Ukraine. C'est une erreur MAJEURE.
[C'est surtout un GROS mensonge de Monsieur Sarkosy, qui répète comme une perroquet le gros mensonge de Monsieur Poutine. L'interdiction du russe fut proposée, c'est vrai, par quelques politiciens peu inspirés. Mais cette proposition a très rapidement été abandonné. Et cependant, elle a servit à justifier les agissements russes et la propagande l'accompagnant. Il est étonnant que Monsieur Sarkosy en soit encore à croire ce mensonge et à le relayer. Je renvoie à l'explication en vidéo (que j'ai posté ici) de Ioulia Shukan, Maître de conférence, Chercheur à l’Institut des Sciences Sociales du Politique, spécialiste de l'Ukraine , et qui connait aussi la réalité de terrain puisqu'elle s'est rendue maintes fois en Ukraine. Sarkosy croit sans doute tout ce que dit la Russie... Et pourtant, dans la Russie d'aujourd'hui, tout n'est que mensonge et manipulation. On reparlera sans doute des snipers de Kiev, des milices "d'autodéfense" de Crimée, ou du crash du vol MH17...]
ça n'veut pas dire, c'que j'dis, que Monsieur Poutine a raison sur tout. Sur la forme, je pense qu'il a eu tort. Mais moi j'ai l'expérience de ça. Quand les russes se sont agités avec la Géorgie, je me suis précipité à Moscou et à Tbilissi, et nous avons pu trouver le moyen d'arrêter les chars russes à 40 km de Tbilissi et de stabiliser la situation. Pourquoi personne n'a été discuté avec Monsieur Poutine? Pourquoi on n'a pas dit à Monsieur Poutine "voilà la ligne rouge... Voilà c' k' i faut arrêter"  ?
Sarko a dû rater un épisode... car juste avant l'annexion de la Crimée, alors que les troupes russes s'agitaient (mais ce n'était "qu'un exercice" !), tous les grands dirigeants, à l'exception peut-être des français mais est-ce surprenant, n'ont eu de cesse de tenter de discuter avec Poutine. Peut-être Sarko était-il sur un yacht ou en train de donner une lucrative conférence loin d'ici?
La France a signé un contrat. A ma connaissance, il n'y a pas de décision internationale de l'ONU interdisant à la France de livrer les Mistrals. Donc la France doit honorer sa parole. Et livrer la Mistral aux russes.
La Russie aussi a signé des "bouts de papiers"* , beaucoup plus important qu'un simple ocntrat commercial. Or, il se trouve qu'aujourd'hui, la situation a changé par rapport à la date de la signature. Et qu'aujourd'hui, la Russie de Monsieur Poutine a montré qu'une signature valait peanuts. Donc, il faut, avec la Russie, appliquer les nouvelles règles fixée par la Russie elle-même.  C'est tout à fait normal et logique. L'annulation de ce contrat doit être démystifié ; la France doit faire preuve comme l'Allemagne d'une solidarité européenne. Noter qu'à l'UMP , il existe des responsables qui ont un peu plus de courage que Messieurs Sarkosy ou Hollande, comme Juppé , qui ne s'est pas laissé intimider  par les poutinolâtres ; cela est assez rare pour être souligné...
Est-ce à dire qu'en faisant ça, on accepte tout ce qu'a fait Monsieur Poutine? Non. Mais qui va m'expliquer que parce qu'on livre le Mistral, on change les conditions du rapport de force, du rapport géopolitique entre l'Ukraine et la Russie?
Eh bien, justement, compte tenu du fait que l'Ukraine ne reçoit quasiment pas d'aide de l'UE (voir interview de Kasparov) ni des Etats-Unis (qui a refusé de lui livrer des armes qu'elle demandait pourtant), compte tenu du fait que l'armée ukrainienne est très peu professionnelle et est mal équipée, que les terrorusses reçoivent, eux une aide de la Russie, ce navire serait évidemment une arme qui permettrait d'assoir la pression russe en Ukraine (mais aussi sur les pays frontaliers de l'exURSS) 
Le rôle de la France, ce serait plutôt d'aider l'Ukraine à se défendre : " soutenir les forces militaires ukrainiennes, leur livrer des armes antichars, renforcer leurs défenses aériennes. On peut complètement isoler les banques russes, couper la Russie du système Swift, réduire les importations de pétrole et de gaz russe " (Piontkovski) . L'armée russe est de très loin supérieure à l'armée ukrainienne (démantelée à coups d'accords aujourd'hui non respectés) ; c'est pourquoi "l'occident a une obligation morale d'aider l'Ukraine à se protéger". (Info-news)
Enfin, un dernier mot à propos de la Crimée. J'ai été celui qui a expliqué à Monsieur Poutine, et ça fut rude entre nous, que les kosovars ne voulaient plus vivre avec les serbes, et que Monsieur Poutine en tant que président de la Russie devait laisser les kosovars libres du droit des peuples à s'déterminer.
Le fait de parler d'un autre sujet (le Kosovo en l'occurrence) est assez classique. Généralement, dans les forums, les poutinophiles qui ne savent plus quoi répondre détourne le sujet sur d'autres régions du monde, sur la méchante OTAN, ou les méchants Américains (aucun mort américain en Ukraine, soit dit en passant... ils doivent être très forts. En revanche des morts russes, il y en a tous les jours [bien souvent des victimes de Poutine, eux aussi]  ; pourtant, c'est bien connu, il n'y a pas de russe en Ukraine...)

36'31







* les "bouts de papiers"
Cette expression a, par exemple, été utilisée par le représentant russe en Ukraine le 21 février 2014. Ce jour, Yanoukovitch signait un accord avec l'opposition prévoyant des élections présidentielles anticipées en décembre et le retour à la Constitution de 2004 qui limite les pouvoirs du président et fait du premier ministre la figure essentielle du gouvernement. Les témoins de l'accord, les ministres des Affaires étrangères allemand et polonais, ont paraphé le document, mais le représentant de Poutine a refusé de la faire. Peu après, dans une interview, il a qualifié cet accord de "bout de papier sans valeurs".
Le soir, Yanoukovitch a mis les voiles.
(Extrait de Journal de Maïdan, Kourkov)

D'autres bouts de papiers signés par la Russie (mais aussi par la France et d'autres grandes nations) : 
la Russie est signataire d'un « traité de l'amitié » avec l'Ukraine (17), de l’Arrangement de Wassenaar(18), de l'Accord final d'Helsinki (19), de la Charte des Nations Unies (20), du Mémorandum de Budapest (21), de la Convention de Genève (22). Tous ces textes sont aujourd'hui moqués par la Russie ou par les « séparatistes » (23) qu'elle soutient.
(extrait d'une lettre à des parlementaires)








Dans le petit monde des pourris, revoici un autre UMP dont on se serait bien passé : Christian Estrosi
Pas encore fini de rédiger quelques commentaires sur Sarkosy que je lis qu'un autre soutien français au guébiste s'est rendu à Moscou. Comme par hasard, encore un de nos minables élus (nous n'en manquons pas, c'est vrai, mais lorsque l'on voit qui sont les poutinolâtres de France, on se dit que l'on tient une belle brochette de dégénérés). Le poutinophile en question est Christian Estrosi. Pour ce qui est de la scolarité, cet immigré italien a fait moins bien que Sarkosy puisque qu'il n'a même pas pu décrocher son bac....
Mais z'enfin, cela ne l'a pas empêché de devenir maire de Nice . Son nom a été associé à une magouille en 1989 . Une histoire de détournement de fonds comme il y en a tant... Mais il a dit que "c’était une cabale montée contre lui à l’époque". Ce n'est pas impossible. Dans le petit monde des pourris, les coups de couteaux dans le dos sont légions... 
Ce qui est vrai, en revanche, c'est que la désignation de son ex-épouse comme tête de liste UMP dans les Alpes-Maritimes aux prochaines élections sénatoriales de septembre a suscité l'étonnement mercredi de sénateurs sortants écartés. (Voir L'Express, 18/06/2014). 





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http://cestpassecretcestdisret.blogspot.fr/2014/07/vente-des-bpc-la-russie.html
http://cestpassecretcestdisret.blogspot.fr/2014/07/plus-la-russie-est-agressive-en-ukraine.html
http://cestpassecretcestdisret.blogspot.fr/2014/07/trouve-sur-boulevard-voltaire-en.html









http://www.france24.com/fr/20140403-miley-cyrus-justin-timberlake-concert-helsinki-sanctions-russie-oligarque-hatwall-areena/

3 commentaires:

  1. Pauvre Russie: le plus grand pays de la Terre ne sait pas qui il est, ni ce qu’il veut être

    http://www.slate.fr/story/93657/russie-crise-identite

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  2. Une armée de troll au service de la propagande russe

    http://www.franceinter.fr/emission-un-monde-de-rumeurs-une-armee-de-troll-au-service-de-la-propagande-russe

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  3. Merci pour ce lien. Sur Libé, il y a aussi une excellent série d'article sur le sujet . Par exemple celui-ci : http://www.liberation.fr/monde/2014/10/24/les-trolls-du-kremlin-au-service-de-la-propagande_1129062

    On peut penser ce qu'on veut de Libé, mais il font parfois du bon travail de journalisme. Comme quoi, la pluralité et la liberté de la presse que l'on a , malgré tout, en France, permet au grand public de lire de la vraie information. Chose aujourd'hui impossible dans un système à la Poutine, dont certains rêvent tant en France...

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