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mercredi 21 janvier 2015

Cinq russes soupçonnés de préparer un attentat arrêtés à Béziers et Montpellier [+ L'Ukraine et les valeurs de l'Europe]

Des arrestations ont eu lieu dans la nuit de lundi à mardi dans la région de Montpellier, selon le Midi Libre. Le pays visé par cet éventuel projet n'a pas été précisé. 

Selon Le Midi Libre, des interpellations ont été réalisées dans la nuit de lundi à mardi à Béziers et dans la région de Montpellier. Ils sont suspectés d'avoir participé à un projet d'attentat. Les cinq personnes interpellées ont été placées en garde à vue. 

Il s'agit de "cinq Russes d'origine tchétchène", selon le procureur de la République Yvon Calvet. Ce dernier reste néanmoins prudent sur les projets des suspects: "La préparation d'un attentat n'est pas du tout établie pour le moment, a-t-il tempéré. L'enquête n'en est qu'à son début et d'autres personnes pouvaient être interpellées". 

Une cache d'explosifs à Béziers

Le directeur de la police judiciaire de Montpellier Gilles Soulier ne dit pas le contraire: le fait qu'il y ait eu un projet d'attentat n'est "pas déterminé", a-t-il précisé. Il n'y a "pas de contexte religieux" dans cette affaire qui relève du "droit commun", a-t-il ajouté. 
Ni la cible éventuelle, ni le pays dans lequel le projet présumé était envisagé n'ont été précisés.  
Parmi les personnes arrêtées, l'une est domicilée à Béziers et une deuxième à Montpellier. Les adresses des trois autres ne sont pas connues pour le moment. Une cache de "dangereux explosifs" a été découverte lundi soir, a indiqué par ailleurs le parquet.  
L'Express 



Pour Porochenko, « La ligne de front pour défendre les valeurs de l’Europe, c’est l’Ukraine »
A la veille du Forum économique de Davos, auquel il participe, le président ukrainien Petro Porochenko a donné, lundi 19 janvier, une conférence à l’université de Zurich où, le 19 septembre 1946, Winston Churchill avait lancé un appel à l’unité de l’Europe. A l’issue de cette conférence, plusieurs fois interrompue par des militants prorusses qui ont crié « Je suis Donbass », M. Porochenko a accordé un entretien au Monde, au Wall Street Journal et à la Neue Zürcher Zeitung. (Le Monde)

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