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dimanche 23 novembre 2014

La Russie investit (au moins) 31 millions d'euro pour gangrener la France

... soit :
- 11 millions pour le clan FN (9 M au FN + 2 M à JM Le Pen) ;
- 20 millions d'euros pour une chaîne francophone en 2015 (le contrôle des médias, ça fait partie de la stratégie poutinienne...);
- cadeaux divers et variés, dont le montant reste flou à ce jour, comme cet arbre de Noël à 80000 euros offert par Moscou au Diocèse de Paris. Nul doute que la propagande russe mettra ceci en avant et occultera la demande conjointe du pape François et du patriarche orthodoxe Bartholomée au "respect du droit international".  Le conflit en Ukraine a sérieusement rafraîchi les relations entre Rome et Moscou, reléguant aux calendes grecques la perspective d'une rencontre entre le pape et le patriarche orthodoxe de Moscou Cyrille. (L'Orient du jour)
 
Galia Ackerman parlait déjà en juin du "soft power" russe, c'est à dire la subversion , la corruption, la désinformation, et le "soutien financier" aux "amis". En bref : un système mafieux.  Voir ici, à 11' . Je me rappelle aussi d'un billet que j'avais posté le 26/04/2014 et que j'avais intitulé "Le FN est-il soutenu par la mafia russe? "  ... Contrairement à la Russie, la liberté de la presse existe, en France, et permet donc de mettre à jour ce genre de choses. Tant que le FN n'est pas au pouvoir, les vrais et bons journalistes pourront exercer leur travail librement. On comprend bien pourquoi le FN admire tant le système poutine, qui a su si bien supprimer la liberté de la presse en Russie.

1/ Neuf millions pour le FN
Le FN a contracté fin septembre un prêt de 9 millions d'euros auprès de la banque russe First Cezch Russian Bank (FCRB), a reconnu samedi le trésorier du parti Wallerand de Saint-Just, confirmant une information de Médiapart. Interrogé sur un article paru sur le site internet samedi, M. de Saint-Just a confirmé que deux millions d'euros avaient déjà été versés au parti, et que le prêt avait été souscris par l'intermédiaire du député européen frontiste Jean-Luc Schaffhauser. [Note : ce même Schaffhauser est allé faire "l'observateur" lors des élections des terrorusses du Donbabwe...]

«Il y a longtemps que nous cherchons des prêts, notamment pour financer les campagnes électorales. Notre banque, comme la plupart des banques françaises et des banques européennes, refusent catégoriquement de preter le moindre centime au FN et aux candidats du FN», a déclaré M. de Saint-Just. «Je ne pense pas que ce soit dirigé contre nous, je pense que c'est général et définitif à l'égard de tous les partis politiques et de tous les candidats. Et donc c'est M. Schaufhausser (...) qui a depuis longtemps pas mal de relations en Russie, et qui a dit: "allez de ma part voir cette banque-là", a ajouté M. de Saint-Just.
«Les banques françaises refusent de prêter le moindre centime au FN»
Dans un article publié samedi, Médiapart parle d'un «intense lobbying des dirigeants frontistes à Moscou», évoquant une rencontre en février entre Marine Le Pen et le député nationaliste Alexander Mikhailovich Babakov, dont le nom apparaît sur la liste des personnes visées par les sanctions de l'Union européenne envers la Russie, mais aussi avec le président russe Vladimir Poutine.

Le site écrit aussi que ce prêt «pose la question de l'origine des fonds et d'une éventuelle ingérence étrangère dans la vie politique française», soulignant que cette banque est «de facto entre les mains d'un ancien cadre bancaire de l'Etat» russe, Roman Yakubovich Popov. M. de Saint-Just a déclaré à l'AFP ne pas connaître les «relations de M. Popov», et dit avoir été en contact avec des «techniciens de la banque», ajoutant que «tous les contrôles ont été faits» sur les premiers versements.

Il a par ailleurs déclaré étudier un dépôt de plainte en diffamation contre le site, estimant que «par le biais des propos d'un prétendu avocat» et en «faisant référence aux juges d'instruction» Renaud Van Ruymbeke et Aude Buresi, manifestement, Mediapart nous impute de participer à une opération de blanchiment d'argent». «C'est de la diffamation par insinuation», estime l'avocat, qui déclare ne «rien [avoir] à cacher sur ce prêt». 

LeParisien




L'enquête journalistique a été menée par Médiapart  :
La présidente du Front national a obtenu, en septembre, un prêt de 9 millions d’euros de la First Czech Russian Bank (FCRB). Les fonds ont déjà été partiellement versés au parti à hauteur de 2 millions d’euros. À l’approche du congrès du FN, ce financement, obtenu après un intense lobbying des dirigeants frontistes à Moscou, pose la question de l’origine des fonds et d’une éventuelle ingérence étrangère dans la vie politique française.
Le Front national, nouveau « parti de l’étranger » ? La question risque de hanter le congrès du parti d’extrême droite, qui s’ouvre samedi prochain, au centre des congrès de Lyon. Selon les informations obtenues par Mediapart, la présidente du FN a décroché, en septembre, un prêt de 9 millions d’euros de la First Czech Russian Bank (FCRB), une banque fondée en République tchèque aujourd’hui basée à Moscou.




« Le prêt est arrivé », a confirmé un membre du bureau politique. Un proche conseiller de la présidente du FN confirme lui aussi la signature de ce prêt, d’un taux d’intérêt fixé a 6%, qui offre au parti un droit de tirage « selon les besoins de financement ». Le député européen Jean-Luc Schaffhauser, ancien consultant de chez Dassault, aurait servi de « go-between » en Russie pour acter le principe de ce prêt, selon un dirigeant.
Le déblocage de ce prêt au Front national par une banque russe survient à un moment critique des relations entre l’Union européenne et la Russie, mises à mal par la crise ukrainienne. Cinq banques publiques russes (Sberbank, VTB Bank, Gazprombank, Vnesheconombank et Rosselhozbank) sont visées par les sanctions, et 119 personnes,
parmi lesquelles des oligarques et des banquiers, sont interdites d’entrée sur le territoire de l’UE. L’un des contacts du FN, le député Alexander Mikhailovich Babakov, est d’ailleurs visé par cette mesure.
« Légalement, rien n’interdit à un parti politique de contracter un emprunt auprès d’une banque française ou étrangère, à la condition bien sûr que le prêt ne dissimule pas un don de personne morale ou un blanchiment d’argent », remarque Me Jean-Christophe Ménard, avocat spécialisé en droit du financement politique, ancien rapporteur auprès de la commission nationale des comptes de campagne (CNCCFP).
Dans les années 1990, les dirigeants du Parti républicain (PR) avaient eu recours à un prêt fictif souscrit auprès d’une banque italienne, le Fondo. Alors dirigeants de ce parti, l’ancien ministre de la défense François Léotard et Renaud Donnedieu de Vabres ont été condamnés pour « blanchiment » dans cette affaire, en février 2004.
« L’origine des fonds prêtés au parti est évidemment cruciale, poursuit l’avocat. Dans le cas présent, il faudrait s’intéresser aux conditions de l’emprunt ou bien encore à l’éventuelle participation de l’État russe au capital de la banque. Le problème est que la CNCCFP ne dispose pas des compétences lui permettant de contrôler la légalité de ce type de montages financiers, parfois complexes. »
« Un parti a tout à fait le droit de contracter un prêt auprès d’une banque à l’étranger, explique-t-on à la CNCCFP. Cela apparaît forcément dans les comptes du parti, mais nous n’avons qu’un montant global des emprunts, seuls les commissaires aux comptes ont les détails en mains et effectuent ce contrôle. Nous exerçons un contrôle sur les dons, pas sur les prêts. »
En revanche, les juges d’instruction Renaud Van Ruymbeke et Aude Buresi sont aujourd’hui saisis de soupçons d’irrégularités sur les financements du Front national – à travers le micro-parti de Marine Le Pen –, une enquête élargie en septembre à des faits de « blanchiment en bande organisée » liés aux contrats de prêts accordés à des candidats frontistes. Il ne serait pas absurde qu’ils s’intéressent à terme au financement accordé au FN par la First Czech Russian Bank.
Si l’on en croit Marine Le Pen, c’est à contrecœur que le Front national s’est tourné vers les banques étrangères. « Notre parti a demandé des prêts à toutes les banques françaises, mais aucune n’a accepté, a-t-elle expliqué, le 23 octobre, à L’Obs. Nous avons donc sollicité plusieurs établissements à l’étranger, aux États-Unis, en Espagne et, oui, en Russie. » [...]
« On a pris des contacts avec beaucoup de banques françaises et européennes, a expliqué Me Wallerand de Saint-Just, trésorier du Front national à Mediapart, fin octobre. C’est niet en France. Ils ne prêteront pas un centime après le rejet des comptes de Nicolas Sarkozy. Nous, on a élargi le cercle. Ce genre de négociations, plus c’est discret mieux c’est. On a pris des contacts avec les plus grosses banques. On a envoyé des lettres, c’est tout. La plupart du temps, on n’a pas de réponse. » [...]
« Les banques sont très frileuses pour prêter aux partis politiques, quels qu’ils soient, confie un membre du Bureau politique du parti. Ce n’est pas un boycott du Front national, c’est une crainte généralisée. À partir du moment où ce n’est pas un don, ni une subvention, ce qui serait interdit venant d’un État étranger, cela ne me choque pas. »
« Pourquoi ce ne serait pas une bonne nouvelle d’avoir trouvé une banque qui prête ? », a réagi le russophile Christian Bouchet, secrétaire départemental adjoint du FN en Loire-Atlantique et ancien nationaliste révolutionnaire. C’est pas pire que d’aller emprunter à Kadhafi. Pourquoi pas une banque russe ? Ce qui intéresse les militants de base et les cadres moyens, c’est que Paris nous verse notre part tous les ans. L’argent n’a pas d’odeur, c’est surtout ça. »
L’obtention de ce prêt est le résultat d’un rapprochement politique engagé par Marine Le Pen dès son arrivée à la tête du Front national en 2011, lorsqu’elle dit « admirer » Vladimir Poutine. Un lobbying intense a été mis en œuvre en direction de Moscou parallèlement aux visites de la présidente du FN sur place.
Marion Maréchal-Le Pen s’y rend en décembre 2012, Bruno Gollnisch, en mai 2013. Après une visite en Crimée, Marine Le Pen y va en juin 2013 avec Louis Aliot. Elle est reçue par le président de la Douma, Sergueï Narychkine, un ancien général qui a connu Poutine au KGB et au FSB (sécurité de l’État).
Elle rencontre aussi Alexeï Pouchkov, qui dirige le comité des affaires étrangères de la Douma, et le vice-premier ministre Dmitri Rogozine. Marine Le Pen se fait alors l’apôtre de « l’approfondissement des liens entre la France et la Russie ».
« Je pense que nous avons des intérêts stratégiques communs, je pense que nous avons aussi des valeurs communes, que nous sommes des pays européens, affirme-t-elle. J’ai le sentiment que l’Union européenne mène une guerre froide à la Russie. La Russie est présentée sous des traits diabolisés (…) une sorte de dictature, un pays
totalement fermé : cela n’est pas objectivement la réalité. Je me sens plus en phase avec ce modèle de patriotisme économique qu’avec le modèle de l’Union européenne. »
Une vraie déclaration d’allégeance politique. L’un des conseillers officieux et prestataires de service de Marine Le Pen, Frédéric Chatillon, est présent à Moscou au même moment. En avril 2014, la présidente du Front national retourne à Moscou, cette fois-ci en visite privée, pour y revoir Sergueï Narychkine. Son engagement pro-russe s’illustre à chaque visite. Les Russes, de leur côté, courtisent depuis plusieurs années l’extrême
droite française, et réservent un bon accueil à Marine Le Pen.
« Vous êtes bien connue en Russie et vous êtes une personnalité politique respectée », lui avait lancé Sergueï Narychkine lors de sa visite en 2013, selon Le Figaro.
Comme l’a signalé L’Obs, elle rencontre fréquemment en privé l’ambassadeur de Russie en France Alexandre Orlov. Ses entrées en Russie sont favorisées par les relations sur place d’Aymeric Chauprade, son éminence grise durant quatre ans, devenu officiellement son conseiller international à l’automne 2013, et le moteur de l’alliance pro-russe. Aymeric Chauprade lors de la présentation de sa candidature par Marine Le Pen, le 24 avril.
Chauprade avait lancé un appel devant la Douma, en juin 2013, visant à résister à « l’extension mondiale des droits des minorités sexuelles ». Il est invité à plusieurs reprises à Moscou jusqu’en septembre dernier, après avoir été, en mars 2014, l’un des « observateurs » du référendum organisé par les séparatistes en Crimée.
Consultant international à Vienne, au sein du cabinet Lee & Young GMBH, élu député européen en juin, Chauprade est en relation avec un oligarque clé du régime, proche de Poutine, Konstantin Malofeev, qui est à la tête du fonds d’investissement Marshall Capital, et de la fondation Saint-Basile-le-Grand, la plus importante organisation caritative orthodoxe russe.
Le 31 mai 2014, les deux hommes se sont rencontrés à Vienne lors d’une célébration des « 200 ans de la Sainte alliance », réunissant près d’une centaine d’invités à huis clos, puis le 12 septembre, lors de la visite d’une délégation de députés français, à l’hôtel Président à Moscou.

« Je ne crois pas que l’on touche de l’argent du Kremlin »

Mais c’est un troisième homme qui a permis au Front national d’obtenir un financement bancaire en Russie : Jean-Luc Schaffhauser, ancien consultant de chez Dassault, propulsé l’hiver dernier tête de liste aux municipales à Strasbourg puis, au printemps, 3e sur la liste Île-de-France aux européennes.
Schaffhauser aurait présenté Marine Le Pen à un puissant député nationaliste, Alexander Mikhailovich Babakov – conseiller du président Poutine en charge de la coopération avec les organisations russes à l’étranger – lors d’un voyage resté confidentiel en Russie, en février.
Lors de ce déplacement, la présidente du Front national aurait rencontré Vladimir Poutine, et enclenché la recherche d’un organisme susceptible de faire un prêt au Front national. Élu à la Douma, Alexander Mikhailovich Babakov, ancien chef du parti nationaliste Rodina, responsable de la commission en charge du développement du complexe militaro-industriel de la Fédération de Russie, a fait son apparition sur la liste des personnes visées par les sanctions de l’Union européenne consécutives à l’intervention russe en Ukraine.
Aujourd’hui député européen, M. Schaffhauser  a précisé dans sa déclaration d’intérêts avoir été consultant spécialisé dans « l’implantation de sociétés à l’étranger et dans la recherche de financement pour sociétés ». Cet ancien centriste, qui n’est pas membre du Front national, est très actif sur la question de l’Ukraine, au parlement européen comme dans certains médias pro-russes .
Il s’est d’ailleurs rendu en Ukraine comme « observateur » des élections séparatistes en novembre et en Crimée en mars lors du « référendum ».
Homme d’affaires et intermédiaire avant d’être député, Schaffhauser s’est vanté auprès de certains dirigeants frontistes d’avoir apporté l’emprunt russe à Marine Le Pen. Il fallait certainement de bonnes connexions pour dénicher ce petit établissement. Créée en République tchèque, en 1996, la First Czech Russian Bank (FCRB) a été progressivement reprise par le géant russe Stroytransgaz – leader dans la construction de gazoducs –, avant de basculer entre les mains de Roman Yakubovich Popov, un ancien chef du département financier de Stroytransgaz.
Aujourd’hui « banquier indépendant » basé à Moscou, Popov a créé au sein de la First Czech Russian Bank (FCRB) plusieurs filiales, notamment la European Russian Bank destinée à s’ouvrir aux pays européens, notamment l’Italie. Alors que son établissement a été classé 42e banque russe, Roman Yakubovich Popov apparaît bien placé dans l’establishment moscovite. Il a co-présidé l’anniversaire des 50 ans du vol spatial
de Youri Gagarine aux côtés du premier ministre de la Fédération de Russie Dmitri Medvedev.
Le recours à cette banque, de dimension modeste et peu connue, plutôt qu’à un établissement de premier plan, pose question sur le dispositif de financement trouvé par le Front national, et l’origine des fonds mis à disposition du parti français. D’autant que cette banque est de facto entre les mains d’un ancien cadre bancaire de l’État. Le Kremlin a en tout cas toutes les raisons d’encourager en France une force politique qui lui est aussi favorable, et d’autant plus si Le Pen fait figure d’alternative à droite.
« La Russie a tout intérêt à avoir une partie du monde politique en France qui ne lui soit pas hostile. Cela ne me semble pas idiot. On est quand même pas tous obligés de trouver que les États-Unis sont le summum de la civilisation mondiale », estime le russophile Christian Bouchet.
« Il y a parmi les vecteurs d’opinion de la Russie le Front national et certains députés UMP, c’est un fait acquis. Maintenant je ne crois pas que l’on touche de l’argent du Kremlin », explique un dirigeant du FN.


2/ Deux millions pour JM Le Pen
Parallèlement à l’emprunt par le FN de 9 millions d’euros, l’association de financement présidée par Jean-Marie Le Pen a reçu, en avril 2014, deux millions d’euros d’une société chypriote détenue par Yuri Kudimov, un ancien du KGB reconverti dans la banque d’État russe VEB Capital. L’argent a été envoyé depuis un compte suisse. Le Pen affirme qu’il s’agit d’un prêt.

On comprend l'empressement du FN (et autres sites inféodés) à soutenir la mafia russe. On comprend aussi que le FN est surtout une entreprise très lucrative de la famille Le Pen. Libre aux naïfs de croire que Le Pen = Le Peuple !





Autre article très intéressant sur les relations entre l' Affront National et les réseaux du Guébiste : ici.
où l'on apprend notamment que ProRussiaTV a été fermée en avril car les autorités russes ont décidé de lancer elles-mêmes l'an prochain une chaîne francophone, dotée d'un budget de 20 millions d'euros.






NB : toujours sur Médiapart, un entretien intéressant avec le ministre letton des Affaires étrangères, au sujet des Mistrals
NB2 : on pourra noter qu'en Europe, le France fait décidément pâle figure par rapport à nos voisins, non seulement sur le plan de la politique intérieure, mais aussi sur le plan extérieur , et même vis à vis de nos partenaires européens (rappelons que l'Allemagne a, elle, annulé un contrat militaire de plus de 120 millions d'euros. Certes, ce contrat est moins lourd que celui des Mistrals, mais : 1/ l'Allemagne est contrairement à la France très dépendante du gaz russe, et cela ne l'a pas empêché d'agir) 2/ Il faut démythifier les conséquences de l'annulation du contrat Mistral
NB3 : Il semble que Merkell ait _excusez l'expression_ "plus de couilles" que notre Hollande national :
« Il ne s’agit pas seulement de l’Ukraine. Il s’agit aussi de la Moldavie. De la Géorgie. Et si ça continue, est-ce qu’il faudra aussi se poser la question de la Serbie ?  Des Balkans occidentaux ? Ce n’est en aucun cas compatible avec nos valeurs », (Merkell à Poutine, le lundi 17/11/2014 à Sydney)
NB4 : Avant les agissements du club Poutine en Ukraine, j'étais plutôt russophile et plutôt critique envers les américains. Néanmoins, aujourd'hui, lorsque Biden  déclare qu'  "il est tout simplement inacceptable qu'au 21e siècle des pays tentent de redessiner par la force les frontières en Europe (...) ou interviennent militairement parce qu'ils n'aiment pas la décision prise par leur voisin", je ne peux qu'approuver... approuver ce point précis sur cette question ukrainienne uniquement (je précise que ce Biden ne m'inspire absolument pas).
NB5 : Babakov, l'homme clé du prêt au FN, a caché sa fortune en France, estimée à plus de 11 millions d'euros.
NB6 : Médiapart a réalisé un très bon dossier sur les dégénérés du FN









1 commentaire:

  1. Les miliciens communistes forment “la Garde rouge du Donbass”

    http://www.editoweb.eu/nicolas_maury/Les-miliciens-communistes-forment-la-Garde-rouge-du-Donbass_a8345.html

    Interview de Boris Litvinov, président du soviet suprême de la République populaire de Donetsk (DNR), premier secrétaire du jeune Parti communiste de cette république (KPDNR), pour le journal communiste russe “Russie Soviétique” (Ancien organe central de la RSFSR, tri-hebdomadaire – 300.000 exemplaires)

    http://lepcf.fr/Pour-Boris-Litvinov-le-proletariat

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