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lundi 30 novembre 2015

Un "mini-Schengen" à 6 sans la France

Pour protéger les frontières de l'UE, le président de l'Eurogroupe envisage de créer un "mini-Schengen"... sans la France

L'interview, parue dans deux journaux belges ("De Tijd" et "L'Echo") est passée relativement inaperçue vendredi : comme le relaie le "JDD" ce lundi, le président de l'Eurogroupe Jeroen Dijsselbloem envisage le recours à un "petit groupe de pays" afin de "mieux protéger les frontières extérieures de l'Union".
Pointant le déséquilibre engendré par l'accueil des réfugiés depuis un an, le ministre de l'Intérieur néerlandais se justifie : "l’espace Schengen ne peut être pérenne si quelques pays seulement acceptent de recevoir la plupart des réfugiés affluant vers l’Europe".
La solution : un "mini-Schengen" qui limiterait la liberté de circulation à une poignée de pays [Suède, Allemagne, Autriche, Belgique, Luxembourg et Pays-Bas] au lieu des 26 actuels... et qui exclurait la France.
"Ce n'est sans aucun doute pas la bonne solution", tempère Jeroen Dijsselbloem. "Un tel développement aurait des conséquences politiques et économiques négatives pour nous tous. Cela serait bien mieux si l'ensemble des 28 pays européens aidaient la Grèce à protéger ses frontières extérieures."
"Aux Pays-Bas, chaque réfugié reçoit un lit, de la nourriture, et les enfants vont à l’école. Nous avons des standards élevés, et nous aimerions les conserver", explique par ailleurs Jeroen Dijsselbloem au quotidien français "Les Echos". "Si l'Union européenne ne protège pas mieux ses frontières extérieures, alors un petit groupe de pays le fera", souligne-t-il encore auprès du quotidien allemand "Handelsblatt". Comme un coup de pression à destination des pays du sud et de l'est...




On est mal barré.
 On s'est déjà mis "à l'écart" de l'UE en envoyant les dégénérés frontistes représenter (quand ils sont là) la France au Parlement européen. On a vu le résultat : insultes, vote contre les lois liées au "renseignement" (permettant de détecter les futurs terroristes islamistes), vote contre l'Ukraine, vote pro-Poutine.. Et surtout, perte d'influence de la France en Europe.
 Attendre un peu... 2017... pour voir si ces tarés arrivent au pouvoir ou pas... Et puis, si c'est le cas, se dépêcher de vendre ses bien immobiliers -avant la ruine générale- , et partir dans un pays européen avant que Marine Lepenskaïa ne ferme les frontières.
Peut-être faudra-t-il anticiper et partir fin 2016 début 2017 ...




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